Il y a mille et une raisons de commencer une psychothérapie comme il y a mille et une raison de ne pas se lancer.

Ne pas commencer parce que ce n’est pas le moment, je n’ai pas les moyens, je laisse pour plus tard, je ne sais pas quoi dire, ni par ou démarrer. Et puis cela me ferait peur de découvrir certains côtés de moi et aussi de ce que diraient les autres.

On peut aussi commencer, écouter notre pré-sentiment et se dire que “autrement c’est possible“. Je vous propose quelques exemples qui peuvent vous aider à identifier ce déclic :

Parfois des personnes peuvent vivre des expériences négatives, souvent inconscientes, qui se répètent dans le temps et finissent par se révéler source de souffrance.

Des incongruences répétitives entre la pensée, le ressenti et la mise en action qui s’accumulent et qui peuvent empêcher de prendre les bonnes décisions pour soi même.

Un autre exemple, à partir de l’envie de se développer, il est possible également de trouver la thérapie sur ce chemin. Elle permet de toucher des parties encore inconscientes et cachées qui normalement seraient inaccessibles sans un travail en profondeur sur le passé.

Le poids d’un nom, d’une couleur, d’une nationalité, d’une histoire familiale qui tourmente le présent et parasite jusqu’au quotidien peuvent être traité en psychothérapie pour libérer soi même, ainsi que les générations qui suivent.